Danube c'est son nom, il a 6 ans. C'était les vacances à Ste Maxime.

 Il doit maintenant se remettre d'une opération délicate. C'est un battant il gagnera cette bataille, j'en suis certain. 

A vous deux

Grand est l’amour  qui vous uni.

Et ce « OUI »  qui scellera  votre bonheur

N’aura de place que dans vos cœurs,

En vous il résonnera chaque jour plus fort

Vous  habillant d’un sourire épanoui.

Il vient le temps des amours tendres

Et des passions  sans  calendrier,

Vivez votre bonheur sans compter

Et cueillez chaque jour comme une éternité.

Juin ! Et le ciel bleu est en fête

Eté, la moisson des cœurs en liesse

Allume ses feux de la St Jean

Noces d’amour, venez danser autour !

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Paradis ou Eden, que des jardins d’amour !

Ils ouvrent  leurs portes aux amoureux 

En  chantant, leurs trésors vous accueillent.

Rivières et torrents  s’assemblent en  tumulte  joyeux,

Riez en buvant  l’élixir du bonheur  sans modération 

Et gardez toujours la coupe pleine  de vos serments.

Roland 

Cendrillon s’est égarée

En partance pour d’autres rêves

Notre amour au port s’est amarré

Dans le silence je l’attends sur la grève

Reviendra-t-elle un jour me tendre la main ?

Ineffable souvenir, douce beauté

Loin de toi je ne vis point

L’aurore pourtant diffuse une douce clarté

Ô tendre douceur, ma blessure, que tu es loin !

N’aurais-tu en ton  âme aucune pitié ?

Rien que vous

Loin de vous,  ou dans vos bras

Avare de mots jamais je ne serai

Vous êtes mon recueil de poèmes ici bas.

Aurore ou crépuscule, de  vous toujours je rêverai

Rien ne saura  éteindre mes émois. 

Ici c’est un  ruisseau qui chante  dans la futaie

Cà et là  vos  parfums embaument  l’air  de  réséda

Ensorcelant mon âme  éprise de vous à jamais.

Roland

Au nom de la rose.

Cueillir les roses de l’éternelle jeunesse

Hiver et autres saisons qui nous dépriment

Rien que pour leur tendre délicatesse

Invitation sans faire-part au rêve sublime

Sans jamais craindre leur tendresse

Tenir dans notre main leur bonheur intime

Inscrire dans les orages de nos vies leur sagesse

Ne plus avoir peur de l’espérance ultime

Encore, comme d’une épine qui nous blesse.

Roland