Le village cet après-midi est presque silencieux.

                              St Tropez s'est dénudé de ses touristes et ses ruelles ainsi offertes aux derniers estivants  n'en sont que plus belles.

                                                           La place des Lices n'est plus qu'un terrain désert et ses bancs romantiques sont riches de souvenirs devant la solitude qui les attend.  La fin de saison est la même dans chaque port.

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Ho !  banc solitaire ne sois pas triste, les amoureux reviendront encore graver  leurs serments sur ton bois veillissant.

Elle m'avait dit:" Si tu vois des fleurs sur ma fenêtre et sur mes volets, viens sans  crainte".

Alors sans détours, j'ai franchi le seuil de sa porte et dans ses bras j'ai retrouvé le bonheur. "Chut!!!  nous avons fermé la fenêtre..." "Surveillez plutôt mon vélo..."J'ai pas d'antivol.

"Oui Oui Je me rends ne tirez pas sur un arbre sans défence...Je vous promets je vais  remettre mes vêtements..."

Au nom de la rose.

Cueillir les roses de l’éternelle jeunesse

Hiver et autres saisons qui nous dépriment

Rien que pour leur tendre délicatesse

Invitation sans faire-part au rêve sublime

Sans jamais craindre leur tendresse

Tenir dans notre main leur bonheur intime

Inscrire dans les orages de nos vies leur sagesse

Ne plus avoir peur de l’espérance ultime

Encore, comme d’une épine qui nous blesse.

Roland

Une porte ouverte est une invitation, mais aussi un mystère...que trouve-t-on derrière...