• Au nom de la rose.

     

    Cueillir les roses de l’éternelle jeunesse

     

    Hiver et autres saisons qui nous dépriment

     

    Rien que pour leur tendre délicatesse

     

    Invitation sans faire-part au rêve sublime

     

    Sans jamais craindre leur tendresse

     

    Tenir dans notre main leur bonheur intime

     

    Inscrire dans les orages de nos vies leur sagesse

     

    Ne plus avoir peur de l’espérance ultime

     

    Encore, comme d’une épine qui nous blesse.

     

    Roland

     

     

     

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  • La porte ouverte

    Une porte ouverte est une invitation, mais aussi un mystère...que trouve-t-on derrière...

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    Ceux qui roucoulent ne pensent pas à la solitude de l'autre

     

     

     

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  • Eléonore et l’orgueil

     

    L’indifférence vous rendait encore plus belle que très.

    O ! Tendre amour à tout jamais vous fûtes mon regret

    Rien qu’une fois j’aurais voulu vous tenir la main, vous chérir

    Grand était mon amour dans le jardin de mes tendres désirs

    Unique beauté dans le silence de mes aveux secrets

    Eléonore, votre prénom résonne au fond de mes abîmes

    Il chante encore au fond d’un cœur qui déprime

    Lorgueil, hélas  sépara deux cœurs avant qu’ils ne s’expriment.

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  • Si je passais…

     

    Si je passais, peut-être demain

    Près de vos fleurs épanouies

    Je cueillerais dans vos jardins

    Les plus belles ancolies.

     

    Je ne serais qu’une ombre

    Glissant dans vos allées

    Et dans la pénombre

    Je volerais vos secrètes pensées.

     Près de vos fleurs épanouies

    Je méditerais obscur baladin

    Et dans le jour qui s’évanoui

    Je vous attendrais jusqu’au matin.

    Si je passais peut-être demain

    Sur le bord de votre chemin

    Auprès de vos  arbres en fleurs

    Je vous offrirais mes bonheurs.

     La porte ouverte vous me laisseriez

    Comme une invitation à ma quête

    Et sans hâte le cœur et l’âme en fête

    Je respirerais les senteurs oubliées.

    Vous me feriez alors  fuir mes incertitudes

    Pour un instant  et un futur  bien présents

    Ainsi je déposerais pour toujours ma solitude

    Balayée à jamais par vos doux serments.

     Si je passais, mais je viendrai, je le sais

    Vers vous le temps n’a plus d’importance

    Je souhaite cueillir encore sous les cyprès

    L’ombre de vos  soupirs,  sans impatience.

     

     Roland

     

     

     

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